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    Citations

     

    EN FRANÇAIS

    • L'encre est une ancre pour les mots, et les mots, une ancre pour les maux.

     

    • Tenus en laisse par nos cœurs scarifiés, sacrifiés, nous avançons, aveugles et sourds, hantés et désenchantés.

     

    • Il en va des cœurs brisés comme du verre, les éclats peuvent blesser.

     

    • On ne peut être une personne éclairée si on est pas un peu allumé.

     

    • On franchi la frontière qui sépare l'amour de la haine quand les liens sont devenus des chaines.

     

    • Il ne faut pas confondre les gens gentils par faiblesse et le gens faibles par gentillesse.

     

    • Confondre anarchie et chaos c'est avouer être trop con pour se commander seul...

     

    • Ne pas réclamer l'impossible est un manque d'ambition.

     

    • La gestion du temps est la seule liberté qu'il nous concède à regret.

     

    • Elle s'assit et versa une larme étincelante de crasse, dans un océan de douleur, chantant avec les ténèbres, les mots de sagesse qu'elle apprit de sa solitude.

     

    • Le triomphe comme la défaite se doivent d’être éphémères sous peine de devenir des poisons.

     

    • On exige pas un sacrifice d'une personne qu'on aime, il est offert et si l'on le reçoit sans protester, c'est qu'on en est pas digne.

     

    • L'aube  assassine la nuit, comme le crépuscule sonne la mort du jour,  sa dépouille enflammée donnant jour à la nuit, La mort mère, est l'amer ami du temps.

     

    • Le poète s’enivre d'idées, le philosophe s'en nourrit.

     

    • L'amour est une obsession rendue légitime par sa réciprocité.

     

    • L'écrivain fait des jeux de mots, le poète de jeux de maux.

     

    • Le talent est une plante que l'on arrose de sueur.

     

    • Ce n'est pas parce certains bâtissent des palais que l'on ne peut pas construire des maisons.

     

    • La bête tapie dans l'ombre, bondit et à pleine dents dévore, déchiquette, et déchire, lambeaux de chair sanglants, arrachés rageusement à un cœur qui bat encore... Résonnent dans l'air les cris... Les étoiles scintillent et s'accrochent à ses crocs rougis, la bête repue s'assoupit, abandonnant à la nuit et à la douleur, le rôdeur impudent qui lui offrit son cœur.

     

    • Si ce sont les cons qui commandent, c'est généralement parce que ce sont les seuls à avoir envie de le faire.

     

    • Il existe trois types de personnes, celles qui font aimer la vie, celles qui t'en dégoutent, et celles qui te donnent envie de mourir.

     

    • On se noie dans les larmes que l'on ne verse pas.

     

    • L'amour est un souverain cruel dont le royaume compte plus d'esclaves que de sujets.

     

    • Seule la passion est aveugle, l'amour sait voir, et aimer c'est voir, et savoir, fermer les yeux, aimer c'est être et jamais avoir.

     

    •  " il est doux d’être aimé pour ce que l'on est "Beaumarchais  Autrement dit, il faut fuir les personnes qui ne savent pas apprécier ce que que tu es ou te comparent à d'autres, celles qui ne reconnaissent pas tes qualités, ne te pardonnent ni tes faiblesses, ni tes défauts... Te préfèrent d'autres personnes pour la raison précise qu'elles ne sont pas toi.

     

    • Le cœur se ferme à mesure que les yeux s'ouvrent, le joyaux maudit qu'on affectionne, engeôlé à jamais, la raison pour gardien, se gardant tant qu'elle peut, des tentations assassines.

     

    • L'amour se pare de bien des masques, aux cœurs meurtris il se dérobe, quand sous celui de la haine, sur l'affection il jette le déshonneur, la lutte alors est vaine, les amants désunis que la douleur égare, le doute désormais est leur seul étendard.

     

    • Le temps  est un voleur  le silence un assassin... Le temps grignote  laisse des miettes   abandonne  au silence complice  le secret des douleurs  tapies dans les abysses  hurlements feutrés dévorant nos nuits  quand nos rêves nous trahissent... nous laissant au réveil  révoltant d'injustice  le gout cruel , amer d'une défaite de lierre...

     

    • Je suis le souverain maudit, d'un château de cristal, abritant des rêves de neige, où le désir et la culpabilité, dansent ensemble sous une pluie de feu, buvant dans un verre ébréché, du sang coulant d'un œil crevé de pailles, alors que résonne le chant des corbeaux, la raison me quitte et la sagesse s'invite...

     

    • Les gens les + aimables sont les - aimés.

     

    • Arrêter avec quelqu'un par lassitude c'est ne jamais l'avoir aimé, ce serait être las de respirer...

     

    • On ne change pas la nature d'une personne, au mieux on l'accepte, au pire on la subit.

     

    • C'est l’égoïsme bien + que la bêtise qui empêche les gens de se comprendre.

     

    • Il existe trois types de personnes , celles qui font aimer la vie , celles qui t'en dégoutent , et celles qui te donnent envie de mourir

     

    • On se noie dans les larmes que l'on ne verse pas

     

    • L'amour est un souverain cruel dont le royaume compte plus d'esclaves que de sujets

     

    • Seule la passion est aveugle , l'amour sait voir , et aimer c'est voir , et savoir , fermer les yeux , aimer c'est être et jamais avoir

     

    • " Il est doux d’être aimé pour ce que l'on est " Beaumarchais  Autrement dit , il faut fuir les personnes qui ne savent pas apprécier ce que que tu es ou te comparent à d'autres , celles qui ne reconnaissent pas tes qualités , ne te pardonnent ni tes faiblesses , ni tes défauts... Te préfèrent d'autres personnes pour la raison précise qu'elles ne sont pas toi

     

    • Le cœur se ferme à mesure que les yeux s'ouvrent , le joyaux maudit qu'on affectionne , engeôlé à jamais , la raison pour gardien , se gardant tant qu'elle peut , des tentations assassines

     

    • L'amour se pare de bien des masques , aux cœurs meurtris il se dérobe , quand sous celui de la haine , sur l'affection il jette l'opprobre , la lutte alors est vaine , les amants désunis que la douleur égare , le doute désormais est leur seul étendard

     

    • Le temps  est un voleur , le silence un assassin... Le temps grignote , laisse des miettes ,  abandonne , au silence complice , le secret des douleurs , tapies dans les abysses , hurlements feutrés dévorant nos nuits , quand nos rêves nous trahissent... nous laissant au réveil , révoltant d'injustice , le gout cruel , amer d'une défaite de lierre...

     

    • Je suis le souverain maudit , d'un château de cristal , abritant des rêves de neige , où le désir et la culpabilité , dansent ensemble sous une pluie de feu , buvant dans un verre ébréché , du sang coulant d'un œil crevé de pailles , alors que résonne le chant des corbeaux , la raison me quitte et la sagesse s'invite...

     

    • Elle est dans mon cœur comme une lame , je ne puis la déloger sans y perdre mon âme , elle me hante plus qu'elle ne m'habite , la tristesse et l'amertume sont la rente dont s'acquittent , ceux qui , pour gouvernail , choisissent le cœur plutôt que la bite

     

    • On ne change pas la nature d'une personne , au mieux on l'accepte , au pire on la subit

     

    • C'est l'égoïsme bien plus que la bêtise qui empêche les gens de se comprendre

     

    • La nuit Harry dévore les voyageurs... Parce que la nuit appartient aux amoureux , Harry les traque , le tic tac de leurs coeurs , battant à l'unisson le détraque , il a le truc , il attaque , il attrape il étripe , C'est la première étape , il est apotre du pire , et d'eux il se repait , Harry la nuit , dévore les amoureux

     

    • Sur terre, la moitié des gens sont des cons, et l'autre moitié c'est pire

     

    • celui qui a traversé la douleur et les épreuves sans être devenu meilleur, celui là aura souffert en vain

     

    • S’engueuler avec un abruti c’est comme jouer aux échecs avec un pigeon, il va se contenter de marcher sur l’échiquier en renversant toutes les pièces, et se pavanera comme s’il avait gagné

     

    • Gagner une dispute avec un abruti c’est comme être battu à la course par un handicapé 

     

    • Le hasard est le nom que l'on donne aux évènements dont on ne sait pas établir la corrélation

     

    • On est pas seul parce que l'on est un monstre, on est un monstre parce que l'on est seul

     

    • J'éprouve un réconfort tiède, l'étreinte familière de la tristesse, enserrant mon cœur comme un écrin, scellé du baiser glacé de la solitude, accueillant résigné, la meurtrière habitude

     

    • Si être laid est un délit, sans délai de cette loi je sonnerais l'hallali, car il n'est un vin qui n'ait sa lie et c'est à elle que je m'allie

     

    • Le plus souvent, être incompris de beaucoup de gens est signe qu'on est sur la bonne voie, parce qu'on a tous un chemin différent. Et il faudrait être bête pour indiquer la route à quelqu'un alors que personne personne ne sait précisément où il va. Il faut soutenir pas diriger

     

    • Je suis dehors, j'écoute la nuit... J'écoute la nuit, comme une symphonie ténébreuse, lumières incertaines, angoisses indécises, se mêlent aux rêves et fantasmes sous une forme imprécise, peur et beauté s'enlacent à  l'assaut de ma raison grise, la nuit me tient sous son emprise

     

    • Mon cœur est trop lourd, ma boite crânienne trop petite, les rêves s'enlisent dans mon cœur gourd, ma tête est trop étroite, pour ce qui s'y agite... la douleur nait de ce que l'on fige, les choses que l'on ose pas, les choses que l'on inflige, les roses que l'on ne cueille pas, les choses que l'on s'inflige, ce que l'on ne poursuit pas... Et soudain tout est clair, il faut tenir les rennes, pour devenir roi

     

    • Je crois qu'il existe un monstre qui sommeille en chacun de nous, prisonnier d'un cercueil de colère, scellé des clous de la peur et de la morale, ce qui nous différencie c'est l'endroit où il se cache et la profondeur à laquelle il est enterré

     

    • Son amour est une fleur de papier, qui se consume en un souffle et meurt à la 1ere pluie

     

    • La musique est une arme pour l'amour comme la connaissance est une arme pour l'esprit

     

    • L'horizon explosait en millier d'étincelles d'or et d'azur

     

    • L'amour est comme la vérité, on est jamais plus proche de son essence que lorsqu'il nous échappe

     

    • Les gens ont l'âme sourde, le cœur aveugle, je les subi comme une pénitence, donnant à la fatalité, l'apparence de la délivrance

     

    • De nos jours, les gens s'offusquent par égoïsme et négligent de s'indigner de ce qui porte atteinte à tous

     

    • Faire la morale à quelqu'un, c'est comme dire à un type qui est tombé à la flotte qu'il est en train de se noyer au lieu de lui envoyer une bouée

     

    • Je fuis le feu... échaudé, lui et moi sommes en froid, il fait les frais de mon effroi, et si mon âme en émoi s'anime, moi capitaine craintif d'une coquille de noix, quand elle rêve d'une rive, dans la nuit, je la noie

     

    • Tout le monde admet l'absurdité de la guerre, mais si quelqu'un décide d'y vouer sa vie, les gens trouveront ça normal ; tandis que celui qui voue sa vie à l'amour est un marginal

     

    • Les trous de vers existent vraiment ou c'est juste théorique ?

     

    • Est-ce que la détermination est une forme de courage ou est-ce que c'est le courage qui est une forme de détermination ?

     

    • La chair est chère à l'argent, il est le despote des putes, qui chie sur le cher archer déchu, on chuchote qu'il s'échine à chanter, sirène assassine, pour échouer, les enfants dans l'amer, il est la lie de l'âme de l'homme

     

    • Je pense que pour être heureux, il faut être loin des villes dans une maison avec tout ce qu'il faut pour s'enregistrer et faire de la musique puis un jardin. Les villes c'est plein de vibrations négatives liées à l'argent et tout ce qui en découle, frustration, colère, violence... c'est pollué, moche et y'a pas d'animaux

     

    • Trois accords pour gagner son cœur, son corps au vainqueur, est or... son âme mise à nu, un trésor... aux nues elle est portée, il est un navire, elle est son port, et si les peaux se fripent, les tripes se nouent encore, amarrées l'une à l'autre, leur âmes défient la mort

     

    • La colère est un signal, jamais un guide

     

    • On est vite passé de quelques lignes dans un journal à quelques mots sur une pierre tombale

     

             Si les yeux sont le miroir de l'âme , le cœur en est la porte , et l'amour la clef

         

    • Ce qui est sacré amène à massacrer

     

    • L'amour est un océan dont les vagues aveugles se brisent, furieuses contre les cœurs rocailleux

     

    • Pardonner c'est s'affranchir du poids des erreurs commises par les autres

     

    • Plus j'apprends l'histoire, moins j'aime les humains;;. En tout cas, le mal vient toujours de ceux qui dirigent;..

     

    • La mélancolie est une flamme gelée qui danse avec paresse au fond des cœurs esseulés

     

    • On a un gouvernement tellement corrompu que si on y mettait le prix, il serait foutu d'être honnête... par accident

     

    • J'ai longtemps pensé que j'étais étrange, décalé, différent, bizarre, anormal... jusqu'au jour o j'ai réalisé que j'étais moi

     

    • On nous apprend à mépriser la défaite, voir la chute comme déshonneur, quand pourtant elle enseigne et devrait être une leçon d'humilité, pour celui qui la subit et de compassion pour ceux qui l'observent

     

    • La beauté, la tristesse et le désespoir sont semblables à des poings dont les doigts enserrent et étreignent le cœur, en extirpant la sève douloureuse que l'on a nommé art.

     

    • Quel amer mystère que la mort de l'amour, les âmes s'éliment et se muent sans merci en monstres meurtris

     

    • Je suis le fantôme d'une ombre, portant son souffle de vie comme un sombre fardeau, un soupir est une tempête pour mon sombre radeau et nulle vague cependant ne vient troubler ces eaux, où personne ne navigue... nulle étoile ne s'y noie, la lune y fait défaut, l'astre du jour lui même a déserté ces flots, silence assourdissant, l'abysse en fait l'écho, quand demain est hier, dans l'amer je m'abime...

     

    • Les maux polissent l'âme, les âmes polies sont sources de réflexions où la réflexion prend source

     

    • La vie est une succession de moments dont on ne distingue la beauté que dans un rétroviseur

     

    • Le temps est un triste  enculé, tic tac tic tac, à chaque seconde l'aiguille, s'abat comme une matraque, une dent qui pète, un os qui craque, l'impitoyable régent du monde,  ne fait jamais de prisonniers, il déplume les poules il dépouilles les plumes, nos cœurs, nos couilles, posés, aveugles nonchalants, entre le marteau et l'enclume. On se veut nostalgique, l'aveu  est pathétique, c'est une amère chimère, qu'en vain nous poursuivons, à quatre pattes, à genoux, à trois, sur les moignons. Aucune époque n'éclipse, le malaise lancinant, qui au matin nous ronge, et qui quand vient le soir, nous dévore à pleines dents, les doutes, les solitudes, en myriades accolées, froides étoiles dont nous louons la beauté, sans jamais connaître plus que cette lumière diffuse, que comme à toutes choses, le tyran a volé, tic tac tic tac, l'aiguille s'abat, comme un couperet

     

    •  Quand la patrie meurtrie, par de sanglantes querelles, se lézarde, discrètement, elle se farde, elle voudrait rester belle... Elle accorde ses faveurs, au plus vil des flatteurs, il se rêve divin, il s'érige en sauveur, mais son  sombre dessein , son succès me hérisse, fut de faire d'elle une pute quand elle le prit pour fils...

     

    • J'ai le don de l'abandon, un cœur sans rancœur, de mes convictions, sans combat, je peux faire l'oraison, si vous pensez que j'ai tort, bien vous avez raison, et si la fin...

     

    • Ma plus grande faiblesse est d'aimer sans réserve, mais j'ai des réserves sur le fait de pouvoir aimer sans faiblesse

     

    • Je supporte plus qu'on obéisse à des voleurs méprisants égoïstes sans scrupules, des enculés dégueulasses qui pissent sur tout ce qui vit, si le monde est une poubelle c'est de leur faute et si le monde est rempli de fils de putes c'est parce le monde vit selon leurs règles, il faut reconnecter les gens pour que tout le monde les envoie se faire foutre !
    • On est + enclin à croire un mensonge habile, qu'une vérité mal formulé.

     

     


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